On ne peut pas aborder les pertes de mémoire sans se poser la question, en bon adepte de la santé intégrative, du sens envoyé par le corps et notre physiologie par les troubles de notre mémoire et de notre attention (vigilance).La mémoire a la faculté d’emmagasiner les idées, les émotions et de ramener au conscient ce qu’on veut bien se rappeler.
On peut, après un choc émotionnel, occulter de ma mémoire des peurs, des craintes, du chagrin. J’évite par exemple de me souvenir d’une séparation douloureuse, d’un drame difficile à supporter, tout ce qui est pénible de se rappeler, et peux ainsi un mouvement de replie sur moi-même. C’est le subsonscient qui refuse au conscient de se souvenir, de retenir des informations.
C’est pour moi une une façon, même inconsciente, de fuir une forme de réalité que je trouverais difficile vivre. Mon cerveau décide de ne garder que les « solutions gagnantes », celles auxquelles il n’y a pas de douleur rattachée, ou qui ne reconnecteraient à des situations désagréables dans lesquelles j’ai l’impression d’avoir échoué. J’ai besoin de me sentir appuyé, soutenu par les autres. J’ai l’impression que je ne suis pas à la hauteur et je laisse aller ce qui me tient à coeur de peur de ne pas réussir. La fuite est plus facile que l’angoisse et le chagrin.
Il faudra donc accepter de prendre pleinement la responsabilité de ma vie, prenant conscience que chaque situation est ici pour m’aider à mieux me connaître et à me sentir plus libre.
(cf Le grand dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel)
2- Activité sportive et psychocorporelle, sommeil, respiration, éléments de réflexion :
Activité psycho-corporelle : « descendre » de sa cérébralité et reprendre contact avec son corps est l’un des bénéfice évident de l’activité sportive ou toute activité corporelle (gym, gym chinoise, yoga, méthode pilate, massage…) ou psycho-corporelle (méthode Feldenkrais, Biodanza, méditation, relaxation ou sophrologie, etc….). D’après mon expérience, l’une des grandes clés se trouve là.
Le témoignage d’un ami sur l’amélioration de ses capacités d’attention et de mémoire : méthode Vittoz et la kinésiologie éducative, notamment grâce aux exercices croisés et alternés qui améliorent les échanges entre les 2 hémisphères cérébraux.
Repos : de même le repos et le sommeil me paraissent être des composantes essentielles de récupération dont notre cerveau a besoin. Un sommeil pertubé devra être traité. Un médecin spécialiste ou utilisant des méthodes naturelles devra impérativement être consulté en cas de chronicité.
Notre cerveau serait-il surbooqué ?
Outres les effets nocifs de la pollution environnementale, de la sédentarité, des pesticides que nous ingurgitons en quantité non négligeable et de la pollution électromagnétique, sujet abordé dans le premier article, je fais ma petite enquête dans mon entourage et j’ai été surpris par le nombre de personnes concernées par les troubles de la mémoire. Ce qui laisse penser que ce serait une caractéristique récente et un phénomène collectif. Certains abordent le temps passé à travailler sur ordinateur , qui est un travail très prenant et qui impose à notre esprit un rythme soutenu, intense qui était certainement inconnu de nos ancêtres, car le travail manuel laisse plus de liberté à notre esprit. A cela s’ajoute la masse d’information faramineuse à laquelle on accède dorénavant par le net. Cela nous impose une obligation de classement des informations sous peine d’être noyé rapidement. Il deviendrait urgent d’apprendre à mieux classer les informations dans notre cerveau, et la méthode Quertant, entre autres, permet de faire ce travail.
3) Méthodes de ré-équilibrage
1- Méthode Quertant : méthode qui vise à rétablir l’équilibre nerveux, chez l’adulte et chez l’enfant, et traite en particulier les troubles de la mémoire et améliore la dyslexie : cf http://www.equilibrenerveux.com/ et http://www.quertant.org . Une méthode très prométeuse, qui mérite d’être beaucoup plus connue. Mon fils (dysléxie) tire déjà des bénéfices après seulement quelques séances … Cf l’article entier sur le sujet. La méthode Quertant peut être complété le cas échéans par la méthode Tomatis.
2- Diagnostique par l’Holopsonie, la méthode Bérard ou Tomatis
Voici une méthode que j’ai découverte très récemment, à laquelle je préfère la méthode Quertant, mais qui mérite d’être connue, notamment pour faire un diagnostique de vitalité énergétique. C’et sur la globalité de l’être que cette méthode travaille, par un processus d’harmonisation du système nerveux sympathique et des deux hémisphères cérébraux grâce à une action conjointe de sons et de couleurs. Un matériel « de pointe » est utilisé, élaboré par Jean-Michel Weiss et Dr Dominique Bourdin.
1) Pour Paris, s’adresser à Serge Czarna : 06 14 75 24 93 ;
2) site de JM Weiss : http://pagesperso-orange.fr/colorix/ ;
3) Centre de D. Bourdin, dans la Somme : http://www.lachrysalide.com/fr/la_chrysalide.htm
4) Méthode Bérard (son) : http://www.drguyberard.com/ et http://www.hiperion.net/
5) Méthode Tomatis , qui semble très efficace au vue des nombreux témoignages qu’on peut trouver un peu partout sur internet ; le site parisien : http://www.tomatisparis.com/methode/
Bien-sûr aucune de ces méthodes ne sont pas gratuites et ne sont remboursées. On trouve par contre des mamans qui ont été remboursées des frais engagés pour les méthodes Quertant ainsi Tomatis dans le cadre de la prise en charge pour Handicap (dyslexie).
La Respiration : l’oxygénation régulière du cerveau paraît également être une évidence, mais notre mode de vie moderne et citadin ne la favorise pas vraiment. Il serait donc judicieux de se réserver quelques minutes de marche respiratoire idéalement dans un lieu planté d’arbres, ou mieux, de se réserver 2 fois 5 à 10 mn dans la journée de respiration profonde. Finalement, quelques exercices journaliers de yoga ou de taï chi recèleraient tous les bienfaits nécessaires à une vie citadine !
Dans ce registre, on peut penser qu’une cure d’ozonothérapie sera bienvenue, des séances de bol d’air Jaquier aussi, dont l’action est précisément de favoriser l’oxygénation du sang, et plus accessible, l’installation d’un ioniseur dans son lieu de vie, afin de produire des ions négatifs, grands absents des atmosphères d’appartement et de lieux confinés. cf l’article chez Donadieu : http://www.01sante.com/xoops/modules/icontent/index.php?page=511
Prédispositions héréditaires : pour de nombreuses personnes, un travail sur les blessures et les traumas transgénérationnelles est devenue une des clés de libération et pour recouvrer la santé. Un travail en psychogénéalogie est donc conseillé, et aussi en ostéopathie cranio-faciale, technique assez impressionnante : lisez le paragraphe suivant, issu d’une interview du magazine Psychologie.
Ostéopathie cranio-faciale
Interview auprès de Pierre Hammond, le créateur de la technique, ostéopathe et enseignant à la Fac de Bobigny, auteur de Ostéopathie : La guérison à portée de la main et La mémoire du corps, approche ostéopathique.
Pierre Hammond : La thérapie cranio-faciale permet de concrétiser le lien physiologique et psychique entre le crâne et le corps grâce à des correspondances démontrées scientifiquement. Par exemple, une émotion s’inscrit, se mémorise toujours dans le corps. Une main expérimentée peut la retrouver grâce à l’écoute du mouvement quasi imperceptible des fascias…
Comme chaque personne est unique, il n’y a pas de recette, mais une démarche spécifique et originale adaptée à chacun. Pour moi, deux principes gouvernent notre vie physique et psychique : l’air et l’eau, que l’on peut comparer au principe yin-yang dans la tradition chinoise. L’air (le yang), c’est le principe masculin apporté par le père, et c’est aussi l’appui et la forme triangulaire. Il est associé à la charpente osseuse qui donne la stabilité. L’eau (le yin), c’est le principe féminin apporté par la mère, qui représente aussi la mobilité et la forme sphérique. Elle est associée aux viscères, aux organes, à la circulation. Une personne qui manque de principe masculin n’a pas assez d’appui, et sera donc instable. Elle souffrira généralement d’inflammations, de migraines ou de cervicalgies, aura des problèmes de mémoire et de concentration . A l’inverse, une personne qui a un principe masculin trop fort sera trop rigide, trop intellectuelle, et ne fera donc pas confiance à son ressenti et à son intuition. Elle aura tendance à souffrir d’arthrite, de torticolis, ou de douleurs articulaires.