Eau kaqun : oxygéner l’organisme en profondeur

Ma découverte de l’eau Kaqun

Début 2013 une lectrice de mon blog m’appelle. A la fin de la conversation elle me demande si j’ai entendu parlé de l’eau kaqun…

-l’eau quoi ? non, jamais entendu parlé. Elle me dit « pourtant pas mal de personnes se déplacent sur place, en Hongrie, pour faire des cures et se guérir « . Ah bon..  ça s’écrit comment ?

Par curiosité j’envoie un mail sur le site.

Quelques semaines plus tard je reçois un coup de fil d’un homme qui se dit être le correspondant de l’eau kaqun en France. J’étais en déplacement. Il me raconte sa découverte de cette thérapie et les bienfaits qu’il en tire. Le courant passe, on reste un moment au téléphone. Le secret de cette eau serait sa richesse en « oxygène libre ».

Sachant que, par définition l’oxygène est oxydante, ma première réaction est le scepticisme de l’intérêt de la consommation régulière d’une eau riche ou enrichie en oxygène… et puis quelle différence avec l’eau oxygénée ? Et pourquoi on parle beaucoup d’une autre eau qui semble l’exact opposé : l’eau hydrogénée, c’est à dire enrichie en hydrogène ?

En même temps je ne peux m’empêcher de penser à toutes les découvertes, durant la dernière décennie, sur les qualités étonnantes de l’eau. Je ne peux m’empêcher de repenser au professeur Marc Henry, passionné par l’eau et ses « propriétés quantiques », ou à Water, ce magnifique reportage visionné quelques mois auparavant sur les propriétés plus ou moins merveilleuses et prometteuses que certains prêtent à H2O.

Je ne peux m’empêcher également de penser que nous ne sommes qu’au début de quantités de découvertes qui nous permettront de nous régénérer et de traiter les nombreuses maladies émergentes.

Bref des questions émergent, mais mon interlocuteur me parait très sensé, en dehors de toute démarche vénale et de plus, fort affable. En fait c’est un vaste sujet et je vais tenter de répondre au fur et à mesure à toutes les questions au sujet de cette eau très particulière.

Si l’on en croit les témoignages que j’ai entendu lors de visioconférences , visiblement c’est du sérieux : les participants ont quasiment tous retiré des bienfaits de la consommation de cette eau ; de plus des études ont été conduites en Hongrie, par le Dr Robert Lyons, le médecin chercheur par qui on doit l’existence de cette eau, au sein d’un des hôpitaux publics de Budapest, l’hôpital St Stephen (St-Etienne).

Des études conduites sous contrôle du « TUKEP », l’équivalent de l’INSERM en Hongrie. Intriguant…

L’eau Kaqun est tout d’abord arrivé en France grâce à Jean Luc qui s’était pris d’amour pour cette eau dès qu’il l’a  découverte. L’homme, à la physionomie généreuse, est avenant. Ses yeux pétillent d’intelligence et son sourire d’amabilité. Il me raconte sa rencontre avec cette fameuse eau.

Il y a quelques temps il a vécu un véritable burn-out.

Il est mal en point : obésité, diabète, essoufflements, apnée du sommeil, des douleurs dans tout le corps, et surtout une fatigue permanente. Sa capacité de travail est réduite à 3 heures par jour. Il cherche des solutions. Il bénéficie d’abord d’une cure détox bienfaisante, version ayurvéda, au centre Prema de Vincent Maréchal à Ermont (95). Il enchaîne les séances : accupuncture, fascia-thérapie, médecine quantique.

En septembre 2012 il entend parlé de l’eau kaqun.

Intrigué, il réussit à commander un lot de packs. Il reçoit une véritable petite cargaison : 20 packs de 6 bouteilles.

« C’était assez extraordinaire« , raconte-t-il. « Quand j’ai commencé à en boire, je n’ai pas pu m’arrêter. La première journée, j’en ai bu 7 bouteilles. Je sentais que mon corps en réclamait. J’avais une image en tête, il me semblait que mes cellules étaient un peu comme des raisins secs tout ratatinés, et que cette eau les réhydratait. J’ai bu de 4 à 6 bouteilles d’eau Kaqun par jour pendant près de 2 mois. Pas par choix, mais parce que mon corps en demandait. »

En janvier 2013 il décide d’aller faire une cure en Hongrie. Là il expérimente pour la première fois les bienfaits des bains combinés à la consommation de l’eau. Il ressent rapidement les effets :

« Dès ma 1ère cure de 9 jours, je sens qu’il se passe quelque chose. Dès les premiers jours, tout de suite, mon moral change, je suis de meilleure humeur, plus positif. Puis l’énergie physique et mentale ont commencé à augmenter, doucement mais régulièrement. De retour à Paris, je garde un grand souvenir de ma 1ère séance de tapis de marche. Elle a été magique. J’ai fait 1h15 avec une facilité incroyable, et j’ai enchaîné par une série incroyable d’abdominaux, et surtout sans douleur. « 

Ensuite il y retourne plusieurs fois.

 » Mais, je n’avais fait que 9 jours de cure et je sentais que le processus de régénération en cours n’était pas complet, et donc en février, je fais une seconde cure de 14 jours. J’ai senti un travail intense dans le corps. Je me re-construisais. Pendant cette 2ème cure, j’ai eu des douleurs très fortes dans ma mâchoire, douleurs qui ont duré tout le temps de la cure. Mais, j’ai constaté que mes dents, qui commençaient à se déchausser, étaient devenus solides. C’était le côté visible de ce travail de régénération initié par l’eau des bains, et je sentais bien que le même travail de régénération se faisait en profondeur ». 

Lorsque vous demandez aux consommateurs les bienfaits qu’ils en retirent, ils vous répondent généralement qu’ils sont multiples. Le plus flagrant est la vitalité, et ça peut se mesurer car par exemple certains montent dorénavant les escaliers de leur immeuble à pied (et ça leur sert même d’étalon) : ils sont à chaque fois un peu moins essoufflés (voir plus loin d’autres témoignages de consommateurs français).

Le centre Holiséa-Paris : la capitale se dote des bains Kaqun

Voilà donc le début de l’histoire de l’eau Kaqun en France car Jean Luc, grand cureux devant l’éternel, va finir par passer à autre chose. Presque 10 plus tard, l’histoire reprend et continue. Elle continue même de plus belle car au cours de l’année 2021 Holiséa-Paris, un centre de bien-être pluridisciplinaire, voit le jour en plein coeur du beau Paris, rue du colisée, juste à côté du célèbre cabaret Boeuf sur le toit. Ils connaissent bien l’eau Kaqun et décide même de demander l’acréditation pour pouvoir générer l’eau directement sur place. Cela signifie pouvoir proposer le nec plus ultre de la technologie Kaqun : les bains. Il faut donc être capable de la produire grâce à un système jalousement protégé par plusieurs brevets. Le projet est sérieux, il est accepté. Paris devient ainsi l’un des rares endroits en Europe à pouvoir proposer les précieux « bains médicinaux » en dehors de la Hongrie.

Le centre Holiséa est situé dans un bel immeuble à trois étage, particulièrement bien adapté pour des curistes en recherche de mieux-être et de soulagement durant leur chimiothérapie (la majorité des curistes). Le lieu possède même trois studios, magnifiquement aménagés, afin d’offrir la possiblité de rester sur place pour ceux qui le souhaitent. C’est particulièrement apprécié par certains curistes qui observent que les deux bains quotidiens sont parfois fatiguants (phases normales du processus d’oxygénation).

D’autre part le centre Holiséa-Paris est complètement dans l’air du temps : il s’est équipé d’appareils innovants ayant des bienfaits complémentaires aux bains kaqun. On y retrouve par exemple un impédancemètre professionnel (utilisé par le micronutrionniste), un sauna vital-dôme de toute dernière génération pour les fameux infrarouges longs, un siège de « vibroacoustique », le Psio Trans, une merveille ! Et si ça ne suffit pas, vous pourrez toujours rechercher un lâcher-prise encore plus profond grâce aux lunette Psio, des lunettes de relaxation à luminothérapie pulsée. Et ce n’est que le début car les propriétaires sont régulièrement à l’affus des dernières innovations du bien être haut de gammes.

De plus plusieurs thérapeutes y proposent des accompagnements sur mesure, particulièrement aprécié par les personnes qui viennent au centre, cherchant à optimiser l’efficacité de leur séjour.

Précisons qu’il est également possible de se procurer les bouteilles d’eau Kaqun au centre Holisea et sur leur site :

Bénéficiez de 5% de réduction avec le code CHRISTOPHE5 en réservant ici

L’eau Kaqun comment ça fonctionne ?

Grâce à sa forte teneur en oxygène stable, cette eau hydrate mieux l’organisme : « souvent on croit qu’on a faim, en fait c’est qu’on n’est pas suffisamment hydraté : le corps ne ferait pas bien la différence entre l’envie de manger et  de boire, m’a expliqué un jour une psychologue« .

La conséquence est que la qualité du sommeil, notamment, est améliorée ; or on connait l’importance du sommeil dans la réparation du système nerveux. Les troubles de l’humeur s’amenuisent : « avec la consommation régulière d’eau kaqun, c’est le soleil qui recommence à briller dans sa tête » entend-t-on ça et là parmi les consommateurs. Il faut savoir qu’une des études menées à Budapest montre qu’un traitement kaqun permet d’accroître de 30% les capacités cognitives.

La tension artérielle aussi est souvent améliorée ; la diminution des douleurs, lorsqu’il y en a, est souvent citée.

Précisons de suite que l’eau doit être consommée de préférence en dehors des repas car elle accélère le métabolisme des minéraux : cela évitera de se déminéraliser. Il précise aussi que « l’eau renforce ce qui fonctionne bien dans l’organisme, elle nourrit les bonnes cellules ».

C’est en septembre 2012 que s’est tenu la 1^ère conférence internationale organisée à Budapest. Les résultats des études sur l’utilisation du procédé kaqun en cancérologie, conduites par le Dr Lyons, y ont été présentées : http://www.youtube.com/watch?v=kHDbxwOcLlw

Histoire de l’eau Kaqun. Un tube mystérieux. Le Dr Robert Lyons s’est déjà illustré par le passé pour ses recherches sur la feuille d’olivier, qui ont conduit à l’élaboration du D-lenolate ; c’est en effet son équipe qui, alors qu’il travaillait chez East Park research dans le Nevada aux Etats-Unis, a permit aux recherches sur l’élénolate de calcium, un puissant anti-microbien contenu dans la feuille d’olivier, d’aboutir.

Il a également étudié l’indium, un oligoélément particulièrement intéressant pour réduire certains processus du vieillissement (http://www.silver47.eu/IndiumLyons.pdf).

Revenu en Hongrie dont il est originaire, il travaille à l’Université de Budapest en tant qu’oncologue, puis dans un laboratoire de sérodiagnostic sur des travaux portant sur les infections fongiques et virales.

Un jour il reçoit un module ayant la forme d’un tube de 1 mètre, avec (si nos renseignements sont bons) une quinzaine de métaux précieux intégrés. Le colis lui est adressé par des scientifiques américains. C’est accompagné d’une lettre expliquant que l’eau traitée par ce procédé a la capacité de traiter le cancer. Le module est le fruit de 20 ans de recherches, mais il ne savent pas trop quoi en faire…

Intrigué, il décide de faire des essais. Ce qui va beaucoup le motiver est la guérison de sa fille.

Interviews

Le Dr Lyons explique qu’il a eu, notamment, à traiter sa propre fille, atteinte d’un cancer du pancréas, avec succès, en utilisant l’eau Kaqun en thérapie complémentaire ; cf cette interview, réalisée par M. Lefevre : http://www.youtube.com/watch?v=dATkmkDHLsE&feature=endscreen&NR=1

Dans la foulée 2 autres interviews réalisées par M. Lefevre :

1) Dr Sandor KULIN, oncologue et spécialiste en médecine quantique :

http://www.youtube.com/watch?v=Imnyl7EtbqI

2) Professeur Tamas SIMONS, président de la ligue hongroise contre le cancer:   http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=MN2YgmD4bhA#!

Anecdote. Il faut savoir que le Dr Lyons est également un maître en art martial : il est même moine shaolin, entraine chaque semaine de jeunes élèves en kung fu, et participe à l’organisation de championnats.

Il invite généralement les personnes qui viennent le voir à s’occuper de leur bien-être, de faire de l’exercice physique, du Qi qong et de la méditation.

D’où vient le terme kaqun ? et bien du film Cocoon, un film de science fiction dans lequel des personnes âgées retrouvent miraculeusement leur jeunesse en se baignant dans une piscine mystérieuse.

En mars 2013 le Dr. LYONS explique :

 » Quand nous avons commencé, nous avons donné à l’eau le nom « Kaqun » qui est un nom fantaisiste qui vient du film Cocoon. La raison est que nous avions vraiment besoin de beaucoup de recherches. Comme dans le film, nous avions beaucoup de questions sans réponse sur ce que cette eau était capable de faire. Ce que nous voyions à ce moment-là ne pouvait pas être expliqué, d’aucune manière. Donc, nous avons décidé de nous engager dans un cadre médical, et nous avons commencé des essais « in vitro » et « in vivo », à Budapest en Hongrie. »

Concernant les essais il précise :  

 » Tous les essais ont été faits dans des Instituts Nationaux, dans le Laboratoire National, l’Académie des sciences, dans les Universités, donc des entités crédibles pour faire des études comme celle-là.

La plupart des études dont nous avions besoin étaient des essais avec des êtres humains. Donc nous avons demandé une « Licence Médicale Humaine » et ainsi nous avons pu faire des publications dans des journaux médicaux Hongrois et internationaux de référence.  »

Pour effectuer les premiers essais, le premier « Club KAQUN » s’ouvre en 2002 dans la ville de OBOGOKO, dans le but d’améliorer la condition physique générale ».

Le Dr Robert Lyons se consacre aujourd’hui à plein temps aux différentes études et protocoles des soins hydrologiques, ainsi qu’au développement de sa diffusion.

Des résultats probants. A l’hôpital St Stephen de Budapest, chaque semaine, des groupes de discutions entre personnes guéris du cancer ou en rémission se réunissent pour faire le point sur leur état de santé.

Jean-Luc Lefevre témoigne :  » durant mes 3 cures d’eau Kaqun à Budapest, j’ai croisé des patients qui m’ont beaucoup touché. Beaucoup de  femmes atteintes par le cancer du sein en particulier, d’autres soufraient de cancers généralisés, un jeune homme qui avait subi 3 AVC dans son adolescence, des personnes avec la maladie d’Alzheimer, d’autres personnes avec des blessures suite à accident. J’ai visité les centres Kaqun du service d’oncologie de l’Hôpital de Budapest et celui du Centre de réhabilitation. Toutes ces personnes avaient une opinion positive de l’eau Kaqun et considéraient que cette thérapie était majeure dans leur processus de guérison.

Une de mes amies, qui n’avait pas de pathologie particulière, avait constaté qu’après ses 10 jours de cure, sa tendance à procrastiner s’était fortement réduite. Par mon métier de formateur de managers, je sais que la procrastination est un handicap dans la vie, qui génère des difficultés et problèmes inutiles à ceux qui en souffrent. J’ai également eu le privilège de rencontrer et d’échanger avec le Professeur Tamar SIMONS, Président de la Ligue Hongroise contre le cancer, qui m’a confirmé le bien qu’il pense des thérapies Kaqun en complément des soins conventionnels. Sa ligue recommande l’eau Kaqun à ses adhérents. »

Comment l’eau Kaqun fonctionne concrètement ?  

Le procédé lui-même est hyper protégé. Ce que l’on sait c’est que l’eau est soumise à une sorte d’électrolyse permettant de retirer une partie de l’hydrogène. L’eau se trouve naturellement plus concentrée en oxygène, et ce qui est important à préciser, en oxygène lié, c’est-à-dire stable, à une concentration de 18-25 mg/l. Il y a véritable changement de la nature de l’eau, et le nombre de molécules H2O par cluster est plus élevé que dans l’eau classique (cf future article sur le sujet).

Il se passe en fait une très forte augmentation du potentiel redox (d’oxydo-réduction). Ce fameux paramètre étudié par Louis-Claude Vincent (bio-électronique) dans les années 50, et qui est un marqueur infaillible de la qualité et de la pureté d’un soluté ou d’une substance.

Pour illustrer l’importance du potentiel redox vis à vis de l’activité antioxydante, le Dr Lyons explique : si vous avez un petit verre (potentiel redox) vous ne pourrez y verser que peu de liquide (antioxydants). Pour augmenter la contenance, vous devez augmenter la taille du verre.

Augmenter le potentiel redox revient à augmenter de façon  significative le champs d’action des antioxydants.

Quelle quantité d’oxygène contient l’eau kaqun ?

– L’eau en bouteille contient 2000 fois plus d’oxygène

– L’eau des bains en contient 4000 fois plus

La teneur en oxygène est constante dans le temps : des mesures montrent que la teneur en oxygène est stable durant 2 ans environ.

Les principales indications sont les troubles du système immunitaire et les troubles digestifs.

Note du blogueur : j’ai demandé son avis à un chercheur en immunologie. Pour lui les résultats observés avec l’eau kaqun sont logiques. Il faut savoir que les recherches les plus récentes sur le système immunitaire pointent du doigt l’intégrité de la paroi intestinale et la qualité de la flore. Toutes les déficiences immunitaires semblent avoir comme dénominateur commun une dysbiose, ou altération de la flore intestinale. Or, la flore bactérienne pathogène est toujours anaérobie (se développe en milieu dépourvu d’oxygène).

Les troubles de l’humeur également, sont étroitement liés à la bonne santé de l’intestin puisque c’est essentiellement là que la sérotonine est secrétée.

Remarque : on parle alors de « biofilms » c’est à dire de colonies bactériennes qui deviennent autonomes, secrètent des composés organiques volatils plus ou moins toxiques. En devenant autonomes elles prennent peu à peu contrôle de votre écosystème.

Les traiter avec de l’oxygène stable est visiblement une solution à laquelle personne n’avait pensé auparavant.

D’autre part le transport et la circulation de l’oxygène dans l’organisme sont améliorés, avec des effets bénéfiques sur la circulation, la microcirculation et la cicatrisation.

Depuis 10 ans qu’elle est étudiée un certain nombre d’autres caractéristiques lui sont attribuées.

Parmi elles :

– détoxique et ré-énergise

– augmente les performances

– alcalinise

– réduit les processus inflammatoires dans le système digestif

– immunostimulante

– favorable au fonctionnement des reins

On en saura plus après la conférence du 1er juin 2013 (cf plus bas).

Conseils d’tilisation

–      En bouteille : l’eau est mise en bouteille en Hongrie. L’eau qui passe par le procédé est une eau de source peu minéralisée qui provient de la région des Dolomites dans le nord de l’Italie (de Posina exactement).

–      En bain : une salle aménagée de plusieurs baignoires a été construite dans une unité spéciale de l’hôpital St Stephen à Budapest, mais également à Kerepes, ou un centre a été construit : les cures Kaqun attirent déjà un nombre important de personnes. Des centres Kaqun se sont déjà ouvert en Allemagne, Hollande, Croatie.

Remarque concernant les bouteilles : l’eau à boire est pour l’instant conditionnée en bouteilles plastiques, mais de bonne qualité, garanties sans bisphénols. L’astuce pour éviter à terme l’utilisation de ce moyen peu écologique de conditionnement serait de créer un centre kaqun en France, ce qui permettrait d’avoir un point de production de l’eau.

Remarque pour les consommateurs : il ne faut ni congeler l’eau ni la chauffer.

La plupart des personnes que j’ai rencontré au centre Holisea-Paris et dont j’ai entendu les témoignages consomment l’eau depuis environ 3 mois, la plupart 1 à 1,5 litre par jour.

Pour F. l’eau kaqun régule l’appétit : plus de grignotages ; elle  a perdu 2 kgs, selon elle les cellules sont mieux hydratées. Côté psy : la procrastination a fortement diminué, elle arrive à pendre des décisions plus rapidement, comme si le cerveau fonctionnait mieux.

A. elle, se sert du gel cutané : elle en est contente et trouve que sa peau est bien hydratée.

M. elle, souffre de fibromyalgie et du syndrome d’Ehlers-Danlos (maladie orpheline qui se traduit par une grande fragilité des tissus et une grande fatigabilité) : elle a remarqué de nettes améliorations depuis quelques temps : moins de douleurs, elle peut monter à nouveau les escaliers. Surtout elle sent plus de tonus, presque comme dopée ; elle dors moins (auparavant elle dormait environ 10 h par jour) ; moins de fringales, surtout en journée ; les dernières analyses sanguines montrent un taux de neutrophiles normalisé ; elle boit 1,5 l par jour

An. de son côté ressent une évolution notable du moral, elle a moins de colères. Au début grandes envie de dormir, comme si son corps avait besoin de se régénérer. Ça l’a aidé à se stabiliser car elle est une personne dispersée ; moins de fringales aussi ; analyses sanguines : moins de triglycérides.

Ma. : souffre également de fibromyalgie, elle a moins de douleurs, c’est plus supportable, elle marche mieux ; elle dort mieux et plus profondément ; elle ressent un vrai plaisir à boire cette eau et ressent tout de suite un mieux être ; capacités cognitives améliorées car elle arrive à nouveau à se concentrer comme lire de façon continue ; elle refait des activités qu’elle ne faisait plus ; elle consomme 1,5 l par jour ; les premiers effets de la consommation sont arrivés au bout d’un mois et demi ; lorsqu’elle n’a plus d’eau kaqun, les douleurs reviennent.

F. quand à elle, se rend sur place régulièrement ; là-bas elle fait 3 bains par jour et boit 1 bouteille par jour, et 2 bouteilles par jour à la fin du séjour ; bienfaits observés : appétit régulé – perte de 2 kgs ; l’impression d’être mieux oxygéné, que le corps est mieux nourrit. Faire le bain le matin est particulièrement agréable et vitalisant.

JL :  » Pour ma 2ème cure, j’étais venu avec un groupe d’amis, dont mon ami Alexis. Alexis souffre d’un carcinome sur le front et d’un cancer de la prostate. Très sérieux, Alexis a fait les 14 jours de traitement Kaqun, à raison de 3 bains par jour, et en buvant 1 bouteille d’eau Kaqun chaque jour. Au cours de cette cure, Alexis sentait en le palpant que son carcinome diminuait. C’était vraiment une bonne nouvelle. 3 semaines après son retour en France, ses analyses montrent que son taux de PSA s’est normalisé.  »

Un participant a remarqué la disparition de ses parasites et mycoses.

Pour en savoir plus 

1) Les études. Depuis 2002 dix études cliniques ont été réalisées ; elles touchent des domaines variés incluant les fonctions cognitives, l’hypoxie, les attaques vasculaires cérébrales, différentes formes de cancer.

La onzième étude, la plus importante de toutes, sera publiée mi-septembre à l’occasion du 2ème Colloque International Kaqun qui se déroulera dans le Centre d’Oncologie de l’Hopital de Budapest. Cette étude randomisées en double aveugle fait intervenir une centaine de patients (cf future article sur le sujet).

Les scientifiques impliqués dans l’eau kaqun attendent cette étude pour publier dans des revues reconnues (c’est la raison pour laquelle on ne trouve encore rien dans Pubmed). Jusqu’à présent, explique Lyons, la prudence était de mise. Maintenant que de nombreux scientifiques hongrois ont constaté les effets  positifs de cette eau, la « reconnaissance » va se faire naturellement.

Avec toutes ces études médicales, il a bien fallu trouver une catégorie dans laquelle inscrire cette eau : elle a été classée, selon la nomenclature médicale européenne, comme « eau fonctionnelle« .

Note du blogueur : le 1er juin 2013, à l’occasion de la conférence parisienne, j’ai dit au Dr Lyons : « bravo de ne pas avoir voulu organiser la distribution de l’eau kaqun sous forme de réseau multi-niveaux ». Il a rit et m’a répondu « Oh non ce n’est vraiment pas pour faire de l’argent. L’objectif est d’introduire cette thérapeutique dans le milieu médical afin d’apporter des solutions et des améliorations à l’état des malades ».

Et bien franchement, chapeau docteur !

Les études conduites sous contrôle « TUKEP » Comité d’éthique scientifique et de la recherche, l’équivalent de l’INSERM en Hongrie 

–      Académie Hongroise des Sciences, Institut des Isotopes. Etude sur le rôle

de l’eau KAQUN dans la formation du radical oxygène in vitro.

–       Institut National De Sécurité Chimique, Cytogénétique et division

immunologique : L’effet de l’eau KAQUN sur les paramètres immunitaires de volontaires sains (TUKEB No.: 42/2009)

–      Institut National De Sécurité Chimique, Division moléculaire et de biologie cellulaire. Etude cytotoxique de KAQUN ™ sur les cellules HepG2 (Study N° 02-CTOX-10)

–      Institut National De Sécurité Chimique, Division moléculaire et de biologie cellulaire. Etude pour les effets de KAQUN ™ sur la capacité antioxydante (TUKEB N° 550/2011).

–      Groupement social de soins de santé de Borsod Sud. L’effet de l’eau

KAQUN™ sur la vitesse des fonctions cognitives (TUKEB N° IV-R-015-14-4/2012)

–      Université de Debrecen. Essai sur des souris SCID in vivo

Etudes non TUKEP

–      Académie Hongroise des Sciences, Institut des Isotopes. Fonctionnement de l’eau KAQUN

–      Université de Debrecen. Essai sur les souris pour le carcinome ovarien, le carcinome du cervix.

Etudes 2013

–      Institut National d’Oncologie de Budapest. Effet de l’eau KAQUN sur les patients sous traitement oncologique. Étude randomisée (TUKEB N°14064/2012)

–      Institut National De Sécurité Chimique-division moléculaire et biologie cellulaire. Étude sous autorisation sur les effets de l’eau KAQUN ™ sur la réaction immunitaire humorale.

Etudes recentes 

Les effets de l’eau stable enrichie en oxygène comme traitement adjuvant chez les patients atteints de diabète de type 2

Le diabète sucré est associé à un manque d’oxygénation tissulaire (hypoxie tissulaire). À son tour, l’hypoxie est associée à un dysfonctionnement mitochondrial qui augmente le stress oxydatif et l’hyperglycémie. Dans le cas des patients diabétiques, il a été démontré que la thérapie d’oxygénation hyperbare améliore la sensibilité à l’insuline du patient. Cependant, il s’agit d’une thérapie à laquelle le patient ne peut, pour diverses raisons, être soumis de façon régulière. La présente étude a donc évalué les effets de l’eau riche en oxygène sous une forme stable (Kaqun – ELO) sur la fonction mitochondriale en présence d’environnements normaux ou riches en glucose, ainsi qu’une thérapie hypoglycémiante pour l’homme.
L’étude a montré que l’eau de Kaqun, en augmentant le niveau d’oxygène dans le sang artériel, neutralise la réduction de la masse mitochondriale induite par l’hyperglycémie et le dysfonctionnement mitochondrial. L’eau de Kaqun est donc une thérapie adjuvante efficace contre le diabète de type 2

*L’étude parle spécifiquement de « ELO », la marque sous laquelle Kaqun est commercialisé en Asie. Kaqun Water et ELO Water sont le même produit.

Pour être tenu au courant : adressez-vous au centre Holisea-Paris, notamment pour bénéficier des bains Kaqun mais également pour acheter les bouteilles : Bénéficiez de 5% de réduction avec le code CHRISTOPHE5 en réservant ici [le lien à intégrer : https://holisea-paris.com/?ref=11] ».