Le sujet des métaux lourds est un sujet hautement polémique, générant beaucoup de croyances et de passions. Enquête.
Dans mon article Vérités sur les maladies émergentes (https://www.clesdesante.com/article-24592645.html ), j’expliquais comment la présence dans notre corps de métaux lourds est plus courante que ce que l’on croit , en raison de la fréquence des amalgames dentaires contenant du mercure et autres métaux lourds, mais également en raison de leur présence durable dans l’environnement (pollutions de l’air, eau, alimentation, etc) mais aussi en raison des vaccinations répétitives. De nombreux vaccins comportent en effet des dérivés de métaux lourds (cf plus loin « les vaccins sont-ils dangereux ? »). Une précision importante concernant les amalgames dentaires : près de 60 % du mercure présent dans l’amalgame s’évapore durant les 3 premières années (d’où les manifestations parfois aigües faisant suite aux poses). Un viel amalgame est donc beaucoup moins toxique qu’un amalgame récent. En octobre 2011 enfin un ouvrage sérieux sort sur le sujet aux éditions Actes sud : Menaces sur nos neurones (cf plus bas) : à lire d’urgence pour tous ceux qui s’intéressent sérieusement à ce sujet ou qui ont un membre de leur famille souffrant d’une pathologie neurologiques ou de troubles neuro-comportementaux. Ces intoxications sont difficiles à mettre en évidence car étant lourds par définition, ces métaux vont se loger au coeur de nos tissus (en particulier le cerveau et autres tissus graisseux, puis les reins) et seule une biopsie pourrait révéler de façon irréfutable le taux d’intoxication. De plus les foetus ayant la particularité de capter les métaux lourds de la mère, il y a un phénomène d’accumulation au fil des générations (d’ou « l’émergence » de certaines pathologies). On parle de « syndrome des amalgames dentaires » : http://www.holodent.com/article-29666845.html
1) il existe cependant plusieurs techniques de dépistage, la plus fiable étant actuellement le test mis au point par l’IBCMT (international board of chelation metal toxic), cf http://www.ibcmt.com . Le test salivaire est également intéressant, pratiqué par certains laboratoires, et facile à faire. Les analyses des porphyrines urinaires, malgré une controverse, semblent également intéressantes (voir plus loin). A noter que le test Melisa évalue uniquement les allergies aux métaux lourds, et ne donne aucune indication quant au degré d’intoxication.
2) il existe des techniques de chélation des métaux lourds, et celle pratiquée pour les graves intoxications se font avec un produit nommé DMPS, administré surtout par intraveineuse (existe aussi par voie orale), doit être réalisée par un médecin dûment formé. La dépose des amalgames dentaires, opération à haut risque et devant être pratiquée idéalement aussi par un dentiste formé, est conseillé à cette occasion.
Plusieurs spécialistes dénoncent cependant la grande puissance de ce chélateur, qui débarrasse le corps de tous les métaux, également des oligo-éléments, et le dévitalise. Ce à quoi est rétorqué que le rapport bénéfice / risque est supérieur et qu’il faut supplémenter en oligo-éléments pendant et surtout après la chélation. A vérifier donc. A mon sens il convient d’éviter tant que peut se faire l’utilisation de chélateurs lourds et les réserver aux cas d’intoxications importantes et avérées. Mon inquiétude d’intoxication de mon fils par le mercure début 2009 s’est révélée fausse alors que j’avais de forts soupçons… C’est la raison je ne saurais trop conseiller, pour ceux qui comptent effectuer une chélation, d’utiliser la « méthode douce », par des compléments alimentaires (cf le Porphyra-Zyme sur Herbajovis) Il me semble que la dégradation de l’état de la paroi de l’intestin chez nos jeunes est avant tout un problème d’alimentation déséquilibrée (beaucoup trop sucrée, riche en pesticides, etc..) et de candidoses (cf mes articles). Avec le recul il convient de préciser que les méfaits des métaux lourds sont maintenant prouvés et démontrés mais qu’il ne sert à rien de paniquer et de céder à la psychose qui s’est installée parmis certaines personnes porteuses d’amalgames dentaires !
3) les métaux lourds, le mercure en particulier, induisent un déficit de réactions enzymatiques dans nos cellules, et sont donc impliqués dans de nombreux troubles de santé physique et mentale ; par exemple l’intolérance au gluten et au lactose bovin : au contact du mercure ces protéines vont générer des molécules particulièrement toxiques (cf n°4). Le régime hypotoxique (SGSC : sans gluten sans caséine) du professeur Seignalet par exemple apportera un grand soulagement dans tous les cas (mais pas la guérison nous rappelle Françoise Cambayrac… ). De même des compléments alimentaires apporteront des soulagements parfois indispensables en aidant le corps dans sa déficience enzimatique, mais n’apporteront pas une vraie guérison. Sauf exception disent certains, voir plus bas « peut-on éviter la chélation au DMPS » ? Autre problème causé par le mercure : fragilisation de la dent et migration du calcium dentaire : http://www.holodent.com/article-29332773.html
4) Comment agit l’exclusion du gluten et des produits laitiers ? La déficience enzymatique conséquente à l’intoxication au mercure a de lourdes conséquences car les protéines du blé et du lait ne se dégradent pas bien. Elles vont franchirent une paroi de l’intestin souvent généralement endommagée, et être transportées au cerveau via la circulation sanguine, où elles se fixent sur les neuro-récepteurs, provoquant au long terme des troubles psychiques, cognitifs, neurologiques (travaux du norvégien Reichelt). De plus on sait que le lait UHT est hautement allergénisant : les molécules de caséines vont se glyquer au cours de Le gluten produit des peptides, qui vont avoir un effet opioïde sur les récepteurs cérébraux ; de plus la mauvaise dégradation des glidines dérivées du gluten engendre des gliadomorphines, très toxiques pour les neurotransmetteurs, liées au déclenchement de pathologies d’hypo-activité (léthargie, asthénie…) ou d’hyper-activité (agitation, difficulté de concentration…). Les protéines du lait (caséines) est responsable quand à elle, de la fabication de casomorphines (troubles du comportement et mucosités). Il faut savoir que ces substances morphino-mimétiques entraine une conduite addictive, comme n’importe quelle drogue.
5) Les vaccins sont-ils dangereux ? Il existe au sujet des vaccins de nombreuses controverses, plus ou moins passionnelles. Les uns ne tarissent pas d’éloges sur les vaccins et rappellent l’avancée sanitaire unique qu’ils ont permis (les vaccins nous ont permis d’échappé à de nombreuses et graves infections épidémiques). D’autres rappellent qu’il existe des effets secondaires non négligeable, que l’on a tendance à sous-évaluer, voir minimiser, et finalement sacrifier certains pour le bien de la majorité (ce serait une « médecine de troupeau » !). Une journaliste française, Sylvie Simon, s’est spécialisée depuis longtemps sur cette question et a écrit plusieurs ouvrages très bien documentés. Ce qui est indéniable, c’est que les vaccins rapportent beaucoup d’argent aux laboratoires pharmaceutiques. Ce qui est également certain, c’est que ces mêmes laboratoires constituent des puissants lobbies dans la plupart des pays industrialisés. On peut donc s’intéroger sur l’indépendance des recherches et études conduites concernant l’innocuité des vaccins (comme de tous les médicaments du reste…). A noter qu’on pourrait de même s’intéroger sur l’indépendance des enseignants des université de médecines ainsi que du personnel des agences gouvernementales de pharmacovigilance… Il existe une très grande disparité de réactions immunitaires d’une personne à l’autre, face à la vaccination, en fonction de son histoire infectieuse et de la manière dont son corps s’est adapté. La vaccination est après tout un acte non anodin car il s’agit d’une véritable intrusion (pénétration d’une aiguille) directe, au coeur même de notre organisme, de notre système immunitaire. D’une façon générale, les scientifiques connaissent très peu de choses sur les conséquences à long terme des campagnes massives et généralisées de vaccinations. Ce qui ressort entre autres de l’excellent reportage franco-canadien passé sur France 5 le 9 décembre 2008 (Silence, on vaccine ), c’est que les laboratoires utilisent des substances qui n’ont quasiment jamais fait l’objet d’études de toxicité. C’est le cas en particulier du Thimerosal , un agent de conservation à base de mercure, présent dans certains vaccins, et de l’hydroxyde d’alluminium . Le site : http://www3.onf.ca/webextension/silence-on-vaccine/ et le forum de France 5 : http://wiki.france5.fr/index.php/SILENCE_ON_VACCINE Livre choc : sortie en octobre 2011 : Menaces sur nos neurones Ed. Actes sud, de Marie Grosman et Roger Lenglet enfin un livre sérieux, qui fait l’état des lieux, dénonce la paralysie des pouvoirs publics (enfin si on peut encore parler de « pouvoir » car quand on céde facilement aux lobbies divers et variés on se demande qui a le « pouvoir » ! ), et donne des pistes pour éviter l’exposition aux neurotoxiques. Merci Marie et Roger pour votre long travail d’investigation !
Video de l’interview : http://youtu.be/nrit4Ipl7Ag Ligue nationale pour la liberté des vaccinations : http://www.infovaccin.fr/ http://www.ctanet.fr/vaccination-information/bull993f.htm Sites suisses : concernant les enfants hyperactifs : http://www.hyperactif.net/ Dvd de spécialistes internationnaux : http://www.stelior.com/dvd.html cf aussi le site d’un groupe médical suisse : http://www.infovaccins.ch/ Peut-on éviter la chélation au DMPS ? C’est une question grave, sur laquelle s’affronte les spécialistes. Certains compléments alimentaires semblent efficaces, comme le Porphyra-Zyme ou Quantakel, entre autres.
A- Conférences organisées par Phytoquant 1) Conférence du Dr Patrick Berthier, 27/11/2008 à Paris Le Dr Berthier, dentiste à Poncin, dans l’ain, travaille avec des méthodes énergétiques depuis plus de 30 ans, et connais bien le problème des métaux lourds. Il a contribué à la formulation du Quantakel. Selon certains médecins dentistes, il n’est pas toujours nécessaire de recourir systématiquement à la chélation au DMPS, qui est un produit chimique hyper puissant et dévitalisant. Un complément a été mis point en prenant en comptes les données des médecines énergétiques (chinoise, anthroposophique, homéopatique) ainsi que les dernières données cliniques en matière de métaux lourds. Ce complément se nomme Quantakel (labo Phytoquant), et renferme 5 types d’ingrédients correspondent aux 5 énergies de vie (bois, feu, terre, métal ou air, eau). Il contient entre autres de la chlorophylle magnésienne, du charbon de camomille, des nosodes homéopatiques de métaux lourds et nombreux autres xénobiotiques, 5 algues d’eau douce et de mer, un mélange de Shiitake / Fenugrec. Il remet en mouvement la circulation naturelle des flux internes, en accord avec le rythme propre à chacun. On sait aujourd’hui mesurer la présence de mercure dans le corps grâce à des marqueurs, les porphyrines, qui sont des molécules liées au transport de l’oxygène dans le sang. On analyse les porphyrines urinaires. Des études ont montré une efficacité remarquable du quantakel (normalisation des réactions des porphyrines : cf le paragraphe consacré à l’évaluation présenté par le Dr René Hernandez), à raison de 6 mois de traitement pour les cas d’intoxications importants, mais 3 mois suffisent dans la plupart des cas, ce qui représente un traitement plus rapide et moins honéreux que la plupart des autres thérapies. Quantakel : quelle posologie ? 2 gélules / jour pendant 3 mois suffisent dans la grande majorité des cas, 3 gélules / jour pour les cas de plus grande intoxication comme les personnes ayant plusieurs amalgames en bouche. Il est conseillé de l’associer à du Coenzyme Q10 (antioxydant). Remarque : action immédiate sur les fatigues et asthénies… (notons les précurseurs du Coenzyme Q10 : oligo-éléments majeurs + vitamines B + acides aminés). Quels tests pour évaluer l’intoxication aux métaux lourds ? Françoise Cambayrac ne croit pas à la pertinence absolue des analyses des porphyrines , et cite plusieurs experts en toxicologie pour étayer cela, tout d’abord le Dr Melet, dont elle se fait le porte parole tout au long de son ouvrage, le professeur Picot, célèbre toxicochimiste, qui dit avoir recours à des tests plus précis, enfin le Dr Maurice Rabache qui pointe « la non absolue spécificité » de ces tests. Cependant une spécialiste de la question du mercure et des enfants autiste, le Dr Corinne Skorupka, affirme l’inverse : 2 – Conférence du 4 octobre 2008 du Dr Skorupka : Intérêt des porphyrines urinaires dans l’intoxication environnementale Les porphyrines participent à la synthèse de l’hème (cofacteur au coeur de l’hémoglobine). Elles présentent une sensibilité différente aux métaux lourds et dérivés organiques qui permet de dépister le type d’intoxication. Ainsi pour chaque métal lourd (Aluminium, Arsenic, Plmob, Mercure), on peut établir le profil des différentes porphyrines urinaires sensibles à l’intoxication au métal. Prenons l’exemple du mercure (Hg). Il se fixe dans les tissus, on ne le retrouve pas dans les urines. Pour le retrouver dans le sang, il faut une intoxication très récente. C’est pourquoi on utilise le test des porphyrines pour rechercher une intoxication au mercure ; c’est le meilleur test actuellement. Après intoxication au mercure, les pics de Pentacarboporphyrine, de Pré-coproporphyrine et de Coproporphyrine sont augmentés. Des expériences ont montré que les taux de porphyrines urinaires chez les rats exposés au mercure étaient fortement corrélés aux taux de mercure du rein et diminuaient après des traitement par DMPS (chélateur). Une étude française effectuée sur 269 enfants, entre 2002 et 2004, a montré des taux de Coproporphyrines urinaires élevées chez des enfants autistes, épileptiques, ou atteints de la maladie de Rett. Cette élévation était corrélée à leur intoxication aux métaux lourds. Dans quel contexte est-il utile de faire un profil des porphyrines urinaires ? Quand il est nécessaire de : – affirmer l’impact toxique sur la physiologie de l’organisme – orienter le diagnostique étiologique par certains profils spécifique de tel ou tel xénobiotique – évaluer l’intensité de l’impact toxique – monitorer la détoxication (chélation ou protection), la réponse porphyrinogénique étant dos-dépendante. Profil des patients susceptibles de bénéficier de ce test : Patients fatigués chroniques, fibromyalgiques, dépressifs chroniques, maladies neurologiques, enfants avec troubles du développement…
3- Conférence du Dr René Hernandez : Evaluation clinico-biologique d’un stimulant de la détoxication
Notre organisme est confronté à une masse sans cesse croissante et variée de toxiques qui le pénètrent par les voies respiratoires, disgestives, et cutanées. Dans ce contexte, Quantakel, complément nutritionnel et énergétique à base de plantes participant à une détoxification de l’organisme, a été mis à la disposition des thérapeutes par Phytoquant. Quatorze praticiens (12 médecins et 2 dentistes) ont transmis des données anonymes sur leurs patients ayant bénéficié de 2 dosages de porphyrines à 6 mois d’intervalle pendant lesquels ils prenaient 3 gélules par jour de Quantakel pour des pathologies très variables. Un questionnaire était également rempli à J0 puis après 3 mois et 6 mois.
Résultats
Après 6 mois les questionnaires montrent : – Asthénie : 100 % ont eu une amélioration rapide – Douleurs : 90 % améliorés nettement et 10 % améliorés – Troubles digestifs : 70 % nettement améliorés, 20 % peu améliorés, 10 aggravés – Etat cutané : 50 % nettement améliorés, 35 % peu améliorés, 10 % stables, 5 % agravés – Allergies : 50 % nettement améliorés – Hypothyroïdie fonctionnelle : 50 % nettement améliorés
Evaluation biologique
Avant traitement, tous les patients étudiés avaient des porphyrines augmentées de façon significative (critère d’inclusion). Après traitement, tous les taux ont baissé avec une diminution encore plus importante pour les taux de Précoproporphyrines (de 187 % à 100 %) et de Coproporphyrine (de 183 % à 123 %) – cf graphe
Discussion et conclusion
Les résultats biologiques corroborent les résultats cliniques. Quantakel impacte le profil des porphyrines urinaires suivant 2 modalités distinctes : – réduction globale de la porphyrinurie – diminution des métabolites terminaux du profil, plus spécifique du mercure. L’amélioration des profils biologiques des patients laisse supposer un mécanisme pluriel du Quantakel sur notre système de détoxication : 1- action inductrice sur la Gluthation transférase et les sulfotransférases 2- un mécanisme associé à mettre en évidence.
Evolution des dosages de porphyrines après 6 mois d’utilisation
Pour être comparés, les normes de chaque porphyrine sont données en %. L’idéal étant d’avoir tous les chiffres autour de 100%.
B – Autres moyens pour se détoxiquer : 1- Les rayonnements infrarouges lointains semblent également très utiles dans les intoxications par les métaux lourds (démontré au Japon) ainsi que pour aider à se débarrasser de beaucoup d’autres toxines par la peau (l’épaisseur de pénétration étant beaucoup plus importante que la chaleur simple, cf http://www.jaderecherche.com/infra-rouge_longs.htm . A creuser.
Les lieux où l’on peut faire une séance de « sauna » dans une cabine à infrarouge lointain se multiplient. On peut également installer une cabine cz soi pour quelques milliers d’euros.
2) Autres compléments alimentaires pour se détoxiquer Les autres compléments, parmi les plus connus : – Porphyra-Zyme, disponible sur Herbajovis.com – le charbon super activé (également sur Herbajovis.com) – Xénosulf du laboratoire Le Stum, un laboratoire renommé du Morbihan. – Exo-mercur et Megadetox du laboratoire Aromadent (Dr Bernard Montain) – Metodetox du laboratoire Nutrivital (que F. Cambayrac semble apprécier pour plusieurs raisons) – Detoxinat du laboratoire Safetynat – TMD (Toxic Metal Detox) du laboratoire Sant&plantes – Green’Flor (Nutergia) auquel il est conseillé d’associer Biotaurine.
3) Le physiodetox ou aqua détox, appareil qui détoxifie par les pieds par un procédé électrolytique. Serait intéressant : personnellement j’ai une bonne opinion suite à une série de bains de pied avec cet appareil… on se sent immédiatement très bien après la séance, comme détoxiné de l’intérieur, comme si on se sentait plus dense, plus entier, plus complet.
4) Le polar cleaner : appareil efficace selon Michel Dogna, qui fonctionne par alternance de courant électrique faible, à l’aide d’un drap de cuivre ou d’aluminium que l’on place sous le matelas ; à faire fonctionner durant la nuit. A vérifier. 5) Nutrithérapie pour se chélater au long terme des métaux lourds ou en attendant la chélation, d’après Françoise Cambayrac La plupart des spécialistes sont d’accord pour conseiller la vitamine C (aide le transport des métaux lourds), les probiotiques, les oméga 3, des antioxydants, etc… Mais l’action de chélation au long terme (cela peut prendre 20 ans !) sera réalisée grâce au charbon actif – enzymes – compléments. A noter l’intêret évident de faire auparavent un IOMET bilan bionutritionnel, afin d’optimiser la prise de tous ces compléments. Christophe ETIENNE, l’auteur de ce blog, pratique le IOMET.
Protocole conseillé : sélénium avant le petit déjeuner, une ampoule (pris seul , loin du cuivre, du zinc et de la vitamine C) ; à savoir que les graines d’Urucum sont riches en sélénium (ainsi que très riches en béta-carotène). c) au petit déjeuner, magnésium (Mg) ou eau riche en Mg ou manger des amandes, ainsi que des vitamines B ; il es également possible de consommer l’algue klamath, une micro-algue très complète qui contient plus de 115 micronutriments : cf le choix chez un des spécialiste : Herbajovis.com). Par ailleurs ses propriétés détoxifiantes et neuro-protectrices ont été démontrées par plusieurs études. d) milieu de matinée : vitamine C (naturelle ou naturelle + synthétique) e) à midi prendre de l’acétyl cystéine (mucomyst, en pharmacie : action antioxydante car précurseur du glutathion) ou bien Coenzyme Q10 f) Dîner : oméga 3 : arroser ses crudités d’huile de noix (et sauproudrer avec des graines de lin broyées fraîchement), et manger régulièrement des petits poissons gras (sardines, maquereaux ou anchoix), ou bien en complément. e) zinc (granions) avec quelques gouttes de citron, le soir après le dîner f) charbon actif (chez SFB) une grosse cueillère à café un soir sur deux au coucher (peux constiper légèrement), prendre des pruneaux et des figues. g) relance enzymatique grâce au Régulat (dommage que ce soit un peu cher…) en soirée ou le martin
4) Conseils alimentaires de base pou aider son corps à se ré-équilibrer : Eliminez complètement le sucre blanc (et le sucre blanc caché dans les sucreries, biscuits, viennoiseries, etc…) ( http://santenature.over-blog.com/article-25228647.html ), le sucre doit être du sucre intégral (et NON du sucre roux), en boutique bio. Evitez les charcuteries, afin de limiter les radicaux libres et dérèglements glycémies / insuline. Cuisez moins vos aliments et à feu doux, afin qu’ils soient croquants, ou alors cuits à la vapeur douce ou encore à l’étouffé. Mangez tous les jours en alternant : avocat ou noix ou noisettes ou amandes bio ( sauf si vous avez des plombages auquel cas il faut les manger sous forme de pâte à tartiner ) ; consommez tous les jours du radis noir dans vos crudités (aide le foie). Consommez en alternance 1 jour sur 2 : choux verts, brocolis, choux de bruxelles, épinards ou salade chicorée. 1 jour sur 2 de la tomate concentrée ou cuite sous toutes ses formes ( sauce tomate , jus …) pour le lycopène. Consommez des aliments biologiques dans la mesure du possible. Achetez en maison biologique 2 huiles de 1ère pression à froid : huile de noix, ou de chanvre ou de colza (attention au goût qui ne convient pas à tout le monde), et huile d’olive, et assaisonnez vos crudités et légumes. Les seules huiles que l’on puisse chauffer sont l’huile d’olive et de tournesol oléique (boutique bio). Ne cuisinez qu’avec ces huiles. Ne consommez pas de gros poissons mais plutôt des sardines, des maquereaux, des anchois. Mangez beaucoup de légumes et de fruits et fruits secs ( dattes, figues, pruneaux, raisins secs) Faites des cures de jus de légumes, qui désacidifient l’organisme et le reminéralisent. Filtration de l’eau : c’est devenu indispensable. Chrono-nutrition : tient compte de l’influence des aliments sur l’activité hormonale de notre corps. Ainsi il est conseillé de consommer les protéines carnées le matin et à midi, et les éviter le soir. Le soir, consommer des omégas 3 d’origine végétale. Les oméga 6 seront à favoriser le midi. Le matin, un petit déjeuner copieux est recommandé (auparavent il est parfois nécessaire de détoxiquer le foie), le midi un repas classique et le soir l’idéal est de manger léger et tôt. Un blog très complet avec des témoignages accablants concernant les intoxications au mercure, très proche de ce qu’a vécu mon fils : http://emmanuelleseve.unblog.fr/
Bonjour
Je viens de découvrir votre site qui apporte de nombreuses réponses aux questions posées sur les forums « maladies » genre « Doctissimo » où j’allais pour trouver d’éventuelles solutions à la maladie chronique qui m’a anéantie pendant plus de 20 ans !
En effet, la colopathie-fonctionnelle, dont je suis venue à bout avait pour origine les métaux utilisés dans mes prothèses dentaires, et non pas le psychisme comme certains médecins avaient essayé de me le faire croire en disant « c’est psychosomatique ! ».
Mon témoignage écrit sur mon blog « colopathie-fonctionnelle.overblog.com traite des incidences que les métaux lourds et légers peuvent avoir sur notre santé. J’ai été empoisonnée pendant toutes des années jusqu’à la découverte de la vérité ! J’en veux pour preuve ma guérison après le remplacement de mes couronnes dentaires fin 2009. Constituées de métaux incompatibles entre eux elles provoquaient une électrolyse diffusant des particules de métaux dans mon système digestif.
Mon cas n’est pas isolé, car sur le WEB j’ai non seulement découvert l’origine de ma colopathie, mais j’ai aussi constaté que de nombreuses personnes avaient de graves problèmes de santé liés aux prothèses dentaires. Ce phénomène n’est pas nouveau, d’autres l’ont dénoncé avant moi d’ailleurs, cependant rien ne bouge au niveau des autorités sanitaires françaises. En mars 2013, le ministère de la santé, le Dr Jean-Yves GRALL m’adressait une réponse concernant l’utilisation du mercure dans les plombages. Les projets en cours semblent rester à l’état de projets ! On n’évoque pas non plus de revoir les protocoles sanitaires afin d’interdire le mélange de certains métaux entre eux ! D’autres pays l’ont fait, pourquoi pas nous? C’est grave de constater que les malades découvrent eux-mêmes la vérité quand les médecins font semblant de l’ignorer ! Va-t-on vers un scandale, avec protection de laboratoires non pas pharmaceutiques, mais dentaires et (ou) de personnes influentes ?
Sans vouloir épiloguer sur la souffrance des malades, ce serait trop long, ne doit-on pas dénoncer la prescription de traitements médicaux couteux et inutiles, censés réparer des dégâts alors qu’il suffirait d’en éliminer les causes?
Ces métaux lourds ou légers provoqueraient insidieusement de graves maladies endommageant non seulement le système digestif comme ce fut mon cas, mais aussi nos neurones comme vous le dites si bien sur votre site.
Ne pourrait-on lever cette omerta afin de rendre la médecine plus crédible ?
Bien cordialement
Cymone
Bonjour et merci pour votre commentaire !… c’est grâce à des personnes comme vous, comme nous, et à quelques journalistes d’investigation, que les choses avancent puisqu’il a été démontré que ce n’est que de la « base » que les choses bougent… jamais depuis les « hauteurs » administratives…. d’ailleurs les administrations sont bien trop occupées à suivre les rouages de leurs « procédures » pour avoir le temps de savoir de quoi souffre exactement le « peuple » !! tant que la racine du mal, c’est à dire les conflits d’intérêts et la libre influence des lobbies chimiques, pharmaceutiques et médicaux (notamment à Bruxelles) ne seront pas éradiqués, les administrations, assistés par les grands médias, n’apparaîtront toujours que comme des complices de ces lobbies !
Bonjour, un grand grand grand merci pour toutes ces informations précieuses, j’ai envie de vous demander votre avis concernant l’argent colloidal comme chelateur de métaux lourds ?
bonjour l’argent colloïdal n’est absolument pas un chélateur de métaux lourds et si un commerçant a utilisé cet argument c’est carrément un escroc. En effet l’argent colloïdal peut être précieux dans la lutte anti-infectieuse mais il n’est pas lui même anodin et il est déconseillé de faire trop souvent des cures d’argent colloïdal (quoiqu’en disent les vendeurs) et est à privilégier en usage cutané.
Les chélateurs de métaux lourds sont plutôt les algues, les anti-oxydants (vit. C, flavonoïdes, alpha lipoïque, glutathion, etc..), les acides aminés soufrés ou encore les absorbeurs : pectines / charbon / zéolite activée / chitine.