Attitude et posture à adopter en cas de pathologie chronique
La toute première attitude à adopter à mon sens et de rechercher le plus grand nombre possible de témoignages de personnes ayant eu des améliorations et qui se sentent soulagées de telles pathologies, ça redonne espoir et bien entendu ça fait envie (« en vie »).
Mais n’oublions pas que chaque jour des miliers de méthodes sont mises au point dans le monde, souvent par des personnes courageuses qui affrontent leurs traumatismes et les transcendent, puis se forment à la méthode qui les a soulagé et ainsi deviennent à leur tour thérapeutes. Une bonne majorité des thérapeutes sont d’anciens « malades ». C’est la raison pour laquelle on entend si souvent que la « maladie m’a sauvé » c’est à dire qu’après coup on se rend compte que la maladie était l’occasion de traverser les vécus difficiles (et même parfois traumatiques) de l’enfance et les montagnes de « mémoires toxiques » que l’on hérite de nos ancêtres.
Ainsi moi même j’ai appris à remercier les messages que m’a envoyé mon corps durant des années et qui m’ont permis de faire des prises de conscience que je n’aurais probablement jamais faites sans les symptomes que je ressentais dans diverses parties de mon corps à l’époque.
REMERCIER les messages du corps et SE PARDONNER sont réellement les deux clés d’entrée de toute guérison de troubles chroniques tels que l’électrosensibilité, le SAMA (syndrome d’activation mastocytaire) ou la fibromyalgie ou encore le syndrome de fatigue chronique (que certains médecins appelent encéphalomyélite myalgique). .
Sans l’intégration dans notre esprit de ces deux clés essentielles, nous allons peut être jamais sortir de la prison de la victimisation et de la croyance de la fatalité.
Au contraire avec ces deux clés on devient responsable de son propre cheminement et on grandit émotionnellement, c’est à dire, en somme,on devient adulte. Un adulte respônsapble, qui émerge graduellement de « l’enfant victime ». En se faisant aider, en s’inspirant de personnes inspirantes, qui sont passées par là elles-mêmes et qui peuvent ainsi nous guider. Ou par n’importe quelles autres personnes inspirantes.
Psychothérapie assistée par les psychédéliques
Ce matin (22/02/2025) j’ai beaucoup pleuré en plein coeur de la forêt de Marly près de Versailles, en écoutant un témoignage bouleversant d’une jeune femme qui a eu l’audace d’expérimenter la plante psychédélique Ayahuasca, le fameux breuvage amazonien permettant de vivre concrètement un puissant voyage initiatique à l’intérieur de soi. C’est un Podcast très facile d’accès sur Spotify, c’est l’histoite de Carla (en deux épisodes) présenté par la chaine de Podcast « thérapies psychédéliques ». J’avais tellement le sentiment d’être au bon moment au bon endroit, comme si le temps s’était en quelque sorte arrêté et que je me mettais sur la même fréquence que mon âme, tout du moins la partie de mon âme qui avait quelque chose à me transmettre. Un message et peut être une méthode à transmettre, qui émerge graduellement depuis ces dernières années et qui s’affinnent, particulièrement depuis mon sixième voyage intérieur à l’aide d’une substance chamanique. Un sentiment qui s’affinne et un message supplémentaire que « tu es prêt Christophe » de transmettre ce que tu as compris et tout ce que tu as vécu dans ta vie, toutes ces expériences qui t’ont suffisamment transformé pour maintenant transmettre.
Ce qui est certain c’est que cette jeune femme, Carla, a observé une sacrée transformation globale de ce qu’elle vivait avant l’expérience (beaucoup d’anxiété et peur de la mort notamment, peur du jugement de sa mère et des autres en général, etc…) et en contre partie elle a observé la naissance d’un profond sentiment qu’elle pouvait enfin prendre sa vie en main. Elle a fait de nouveaux choix fondamentaux (vis à vis de sa mère, de son compagnon de l’époque, de reprendre ses études, etc..). Bref un changement racical, que l’on observe d’ailleurs très souvent en lisant les récits et les descriptions rapportées par les personnes ayant eu la chance de suivre une psychothérapie assisté par les psychédéliques.
Pour ceux qui ne le savant pas les substances psychédéliques ont fait l’objet d’un nombre très impressionnant de recherches scientifiques et selon moi elles sont un outil à ne pas négliger quand on a tout essayé ! Il est conseillé de visionner les quatres excellents reportages NETFLIX « voyage aux confins de l’esprit » afin d’être litérallement « initié », c’est le cas de la dire, à l’intêret de ces approches hyper novatrices et révolutionnaires.
Approches émotionnelles et de lâcher prise et approches énergétiques
Mais utiliser des outils plus doux de thérapies corporelles et de transes me parait un excellent conseil à donner pour ceux qui lisent ces lignes. Thérapie corporelle signifie que l’on « quitte la tête et les pensées » (par une action menant à un très fort lacher prise comme la respiration accélérée par exemple ou encore par l’état d’hypnose) et que l’on plonge à l’intérieur de soi et de son corps, à la rencontre de ce qui a été enfouie depuis notre petite enfance, et probablement à la rencontres de mémoires encore anciennes. Personnellement c’est toute la période durant laquelle je me suis formé à la Transformational breath qui m’a le plus aidé pour ma très forte anxiété. Mais le travail émotionnel intense que l’avait pratiqué auparavent ont été indispensables pour me préparer à cette méthode de transe respiratoire. J’avais notamment suivi une psychothérapie émotionnelle (la dynamique émotionnelle du Dr Etienne Jalenque, puis une psychothérapie style analyse psycho-organique ainsi que l’iniation et la pratique du MKP-les nouveaux guerriers qui a été d’une puissance inégalée à l’époque. Chaque approche et expérimentations transformatrice m’a préparé au fond aux expériences suivantes, et m’ont préparé au final à ma formation actuelle aux thérapies psychédéliques aux Pays-Bas (un pays où c’est déjà légal).
Il y a de nombreux témoignages de personnes électrosensibles aujourd’hui guéries et qui ont utilisé plusieurs approches innovantes, dont les substances psychédéliques. Mais il faut être prêt ! Donc selon moi il est indispensable de se préparer et d’aller dans un premier temps vers des approches corporelles telle que celles que j’ai décrites mais aussi de privilégier :
- la kinésiologie
- les thérapies recommandées en cas de stress post-traumatique comme l’EMDR par exemple
- l’ICV (intégration du cycle de vie)
- l’IFS (internal family system) ou la selfthérapie développée par le Dr François Le Doze
- un long suivi d’hypnothérapie par une personne formé au stress post-traumatique
- le DNRS d’Annie Hopper) ou la méthode enligne développée par Marie Nordin en Finlande (basé sur le DNRS)
- le neurofeedback qui est également utilisé avec succès dans un certain nombre de cas
- les constellations familiales, qui gagnent chaque jour un peu plus en popularité, notamment depuis la diffusion d’une série NETFLIX extrêment bien faite je trouve : les chemins de l’olivier.
La méthode DNRS est probablement très intéressante et également moins coûteuse que les autres approches car elle se pratique à la maison (on a juste besoin d’un coaching hebdomadaire ou mensuel), mais visiblement personne n’est formé en Europe. D’autre part cette approche ne sera suffisante pour les personnes ayant un important travail émotionnel à faire (comme dans le cas de la maltraitance dans l’enfance par exemple) car dans ce cas il est toujours nécessaire d’être accompagné.
La kinésiologie et l’hypnothérapie, également, ont le vent en poupe, et je considère que certains brillants kinésiogues ou praticiens en EMDR seront capables de proposer un ensemble de séances permettant de créer un « partenariat » comme en psychothérapie classique : déméler ensemble la « pelotte de laine » des mémoires toxiques que je porte en moi : le praticien soulève la mémoire toxique et le client fait le travail émotionnel pour se dégager de cette mémoire. C’est un travail de fourmis, couche par couche on va devoir plonger dans sa propre merde, et plonger dans ce qu’on a hérité du passé.
Comprendre le fort impacte des traumas sur notre santé et sur notre système immunitaire
Youtube regorge de vidéos explicatives sur les réels et nombreux impactes du vécu de notre enfance sur notre santé et sur notre immunité. Comme par exemple la chaîne Quantum way.
Un exemple d’intervention passionnante : celle du Dr Bessel va, der kolk, afin de mieux comprendre le stress post-traumatique :
Dès le moment où nous sommes conçus, que nous sommes foetus, nos cellules et en particulier nos cellules nerveuses enregistent tout ce qui vient de notre environnement, aussi bien physique que psychique.
Concrètement :
1) on absorbe les aliments consommés par notre mère, et on assimile également un certain nombre de polluants présents dans son corps, en particulier les métaux lourds et autres substances « lourdes » et les autres substances dont on ne prend conscience de leur toxicité que maintenant (comme la polluants éternels, les pesticides, le glyphosate, etc, etc…)
2) on enregiste dans nos cellules et notre système nerveux ce qu’elle va vivre et ressentir durant les 9 mois de grossesse, que ce soit des ressentis de joie, de bonheur ou que ce soit des ressentis de tristesse, de peurs, d’incertitudes, d’insécurité, etc, etc…
A la naissance nous ne sommes donc certainnement pas « vierges » !! Nous portons déjà une signature du passé et cette signature fait partie de notre personnalité, mais en même temps elle contient un certain nombre de mémoires et de toxines et polluants qui ne nous appartiennent pas.
Toute la difficulté va consister à être capable de discerner et de séparer le bon grain de l’ivraie. Trier entre ce qui nous appartient et ce qui ne bous appartient pas. Ce qui ne nous appartient peut être appelé le « non-soi » et c’est exactemet le travail du système immunitaire ! Etre capable de séparer le soi du non-soi est la définition même de la fonction immunitaire décrite dans les manuels universitaires de tous les médecins du monde ! On comprend mieux l’explosion actuels des troubles auto-immuns dans tous les pays du monde ! Surtout dans les pays industrialisés.
Se détoxifier des polluants accumulés dans notre corps, dans nos glandes endocrines : l’exemple du dioxyde de chlore
Pour la partie physique, on va devoir trouver des substances naturelles capable d’aller déloger les pollunats accumulés dans nos cellules. Il y en a plusieurs et je me contenterais aujourd’hui de n’en citer que trois :
- la chlorella ou les porphyrines de chorophylle (par exemple celle distribuée par le laboratoire Biotics research)
- la zéolite : une sorte d’argile volcanique capable d’absorber un nombre très impressionnant de toxines et de polluants environnementaux et en même temps qui a une action particulièrement positive sur l’écosystème intestinal
- la curcumine n’est pas utilisée uniquement pour agir sur l’écosystème intestinal, mais également pour détoxifier des polluants comme certains perturbateurs endocriniens
- le sulforaphane (et glucoraphane) sera quant à lui plutôt utilisé en cas d’intoxication par les perturbateurs endocriniens et en cas de déséquilibre de la balance oestrogènes / progestérone, tout particulièrement en cas d’hyper-oestrogénie relative, une terminologie employée dans les milieux ouverts à la médecine fonctionnelle et micro-nutritionelle.
- La NAC (n-acetyl-cystéine), le glutathion et l’acide alpha lipoïque seront autant de nutriments naturels puissamment efficaces, chacun à leur manière, en cas de nécessité de se détoxifier
- La gemmothérapie pourra aussi être employée afin de favoriser (parfois de manière remarquable) les capacités de détox du corps
- mentionnons également les injections intra-musculaires de vitamine C (que l’on peut donc se faire assez aisément soi-même) : c’est une approche devenue extrêmement courante aux USA, aussi bien par le public, que par certains médecins qui ont observé une efficacité remarquable dans certans cas de cancer. Il existe quelques études publiées.
Se détoxifier par le dioxyde de chlore ?
Le dioxyde de chlore (ou CDS = Chlorine dioxide solution, qui est l’exacte ortographe anglaise), est une substance oxydative, et malgré les controverses, a été largement popularisé ces dernières années par le public (le bouche à oreille, notamment au moment de la crise du Covid), et par le biochimiste Andréas Kalker, à travers moultes formations données à travers le monde, en particulier dans plusieurs pays d’Amérique latine. Le célèbre cancérologue alternatif Laurent Schwartz confirme depuis le milieu de l’années 2024 l’intérêt de l’utilisation de cette substance dans un certains nombre de cas.
La solution de dioxyde de chlore (CDS) commence ainsi sérieusement à faire parler d’elle, et cette substance étonnante (notamment en raison de son odeur) fait chaque jour un peu plus d’adeptes supplémentaires (voir en particulier le long article qui lui est consacré que le magasine Nexus).
Pour résumer au maximum, le CDS serait entre autres capable d’augmenter l’oxygénation de nos cellules (de nos mitochondries), et ainsi d’augmenter nettement leur capacité à neutraliser les radicaux libres (mais aussi à les augmenter, d’où le terme « thérapie oxydative ». Prévoir toutefois une longue cure.
Le vrai bémol, outre le fait de se sentir rassuré car c’est un produit dont on ne peut entendre parlé que de bouche à oreille (et sur des canaux telegram ou signal), est de se former à la fabrication du produit. Il existe toutefois quelques labos qui proposent du CDS tout prêt et qui pour moi sont de qualité correcte, mais si vous vous intéressez au CDS vous entendrez partout qu’il ne faut surtout pas l’acheter mais apprendre à le faire soi-même ou encore de trouver une bonne âme qui en fera pour vous.