On entend et on lit de plus en plus de témoignages d’améliorations durables de dizaines et de dizaines de symptômes chroniques avec l’utilisation du dioxyde de chlore (ou plus exactement avec la « solution de dioxyde de chlore »). Cela a donc piqué ma curiosité et j’ai choisi de commencer une enquête.
Qu’est ce que le dioxyde de chlore ?
Cette molécule, cousine éloignée de l’eau de javel et également connue pour son action aseptisante dans l’industrie (pour le nettoyage des aquarium par exemple), fait énormément parler d’elle depuis quelques années, notamment dans plusieurs pays d’Amérique du sud et d’Afrique, pour son action thérapeutique si ingérée en toute petite quantité et surtout sous forme gazeuse diluée dans de l’eau. On enregistre actuellement (en 2023) plusieurs dizaines de milliers de témoignages d’améliorations de symptômes et de troubles chroniques, très divers les uns des autres, y compris des symptômes liés à de l’auto-immunité. Il me semble qu’il serait peut être temps de l’étudier sérieusement ?
Pour mieux comprendre son action physiologique (oxydo-réduction et signalisation rédox) on ira en bas de l’article pour écouter la vidéo du biophysicien Andreas Kalcker et d’autres vidéos reliées directement à la notion passionnante d’oxydo-réduction cellulaire (à travers un autre produit : Asea).
Dans faisant quelques recherches sur le net, on s’aperçoit assez rapidement que le dioxyde de chlore a une connotation assez « sulfureuse ». Il faut dire qu’il y aurait un nombre non négligeable de témoignages de guérison du covid long mais également des séquelles du vaccin ARN, d’autre part Andreas Kalcker, l’un des principaux protagoniste de cette approche, a écrit des livres ayant des titres quelque peu provocateurs : La santé interdite et Bye bye covid ; exactement le genre de titres qui pourrait faire froncer les cils de certaines industries pharmaceutiques ? Ce qui est certain c’est que si ça empêche la diffusion et surtout les recherches sur son intérêt dans la santé humaine et animale, ce n’est pas très malin !
Il existe en effet probablement un véritable intérêt à mieux l’étudier, et mieux comprendre ses effets physiologiques, alors que je n’en suis qu’au tout début de mon enquête ! En attendant son utilisation se répand dans de nombreux pays ayant un niveau de vie inférieur au notre, là où l’accès aux médicaments n’est pas aussi aisé que dans nos pays.
D’autre part comme il est recommandé de faire soi-même le produit (il s’agit d’une solution gazeuse récupérée dans de l’eau), c’est un peu fastidieux. Mais bon on s’aperçoit vite que ce n’est pas si fastidieux que ça à faire, et d’autre part on peut trouver le produit déjà tout fait sur le net, notamment en Espagne.
Le chercheur Andreas Kalcker, d’origine allemande mais ayant vécu essentiellement en Espagne et dans plusieurs états d’Amérique latine et au Mexique) est l’un des scientifiques travaillant le plus sur les investigations et la diffusion du produit : https://andreaskalcker.com/fr/%C3%A0-propos-de-moi-andreas.html
Les thérapies oxydatives du comité international : la COMUSAV
Quelques explications sur la controverse et les raisons pour lesquelles les protocoles avec le CDS ne sont pas encore pratiqués en médecines conventionnelle occidentale malgré les publications scientifiques et surtout les dizaines milliers de témoignages parfois assez impressionnants des bienfaits durables sur la santé :
https://andreaskalcker.com/fr/%C3%A0-propos-de-moi-andreas/controverses.html
Son institut forme ceux qui le veulent à la fabrication et l’utilisation du produit, avec tous les fondements scientifiques, physiologiques de l’action du produit dans le corps (formation autour de 550 euros en novembre 2023).
Le comité médical international chargé d’étudier l’intérêt de ce produit se nomme la COMUSAV (https://comusav.com/), créé durant l’année 2020, lors de la crise du covid, qui regroupait en 2023 plus de 3000 médecins et chercheurs, y compris un professeur universitaire, essentiellement sud-américains. Ils se chargent également de collecter les témoignages journaliers des patients et la conduite d’essais cliniques et de publications scientifiques (une douzaine à l’heure actuelle). Pour résumer en deux mots l’action du produit :
il provoque une action d’oxydo-réduction intra et extra-cellulaire (action électro-moléculaire). Cette action va améliorer les capacités naturelles des cellules à se détoxifier et se régénérer (le produit ASEA fonctionne de la même manière (amélioration de la signalisation rédox) même si c’est moins concentré que le CDS. On pourra toutefois visionner les vidéos de présentation de ce produit vendu par marketing de réseau, avec des témoignages en direct. Il convient de préciser que Asea a le même goût que le CDS dilué.
La COMUSAV nomme l’ensemble des approches qu’elle étudie « les thérapies oxydatives et la médecine régénératrice ».
Ceux qui veulent en savoir plus se dirigent généralement vers les nombreux groupes Telegram créés par les personnes convaincus et améliorées dans leur santé par les produits naturels à plébiscités dans ces milieux (environ 7 à 8 produits dont le DMSO, l’eau de mer filtrée, l’argile volcanique zéolite de qualité supérieure, etc…).
Videos explicatives sur le CDS et l’action sur les globules rouges
Explications de la part d’Andreas Kalcker : https://odysee.com/@Covidbel:5/Kalcker:77
Pour les germanophones : l’action du chlorite de sodium (la molécule qui sert à fabriquer le CDS quand elle est associée à de l’acide chlorhydrique) sur le comportement de globules rouges : https://odysee.com/@Kalcker:7/blood-test-2:5
Mieux comprendre la signalisation rédox : vidéos sur le produit ASEA
Video zoom de présentation du produit Asea avec quelques témoignages :
https://www.youtube.com/live/xwR7B57VWT4?si=4tqE4yZaDxbKzlOh