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Approche holistique et guérison : c’est notre chemin qui est important

L’approche holistique, ou intégrative, est pour moi la clé de la guérison, tout au moins d’une guérison plus rapide. En effet aborder un symptôme sur 3 plans à la fois :
 
– physique (alimentation, détox, compléments alimentaires),
– énergétique (bonne circulation des méridiens, déparasitage),
– psychique (le sens de la maladie, le conflit qu’il révèle)
 
est, par expérience la garantie de faire le tour de la causalité de nos troubles beaucoup plus rapidement. En tout cas, plus rapidement que si on se cantonne à un seul plan : par exemple que le sens de la maladie, ou que les médicaments si on en a ou les compléments alimentaires…
 
C’est d’ailleurs ce que les bons naturopathes font. C’est aussi ce que font spontanément beaucoup de personnes via les nombreux livres sur la psychosomatique et les médecines naturelles et qui chechent à se guérir malgré le fait que « la médecine » ne peut plus rien pour elles.
 
Oui l’autonomie est l’avenir, aussi bien sur un plan économique qu’en matière de santé. Et de plus en plus de personnes prennent leur santé en main : nous sommes notre meilleur médecin. Ceux qui cherchent par eux-même abordent cette multi-disciplinarité : on a d’ailleurs parfois le sentiment d’être noyé, tant il y a d’approches différentes et d’informations disponibles, notamment sur le net, et les nombreux livres qui sortent sur les maladies..).
 
Mais ce que l’on doit comprendre c’est que c’est notre chemin qui est important, non le résultat..
le résultat n’est qu’un aspect de notre parcours.. C’est la démarche que l’on entreprend qui est l’essentiel, et c’est important à comprendre car il y des personnes qui sont inconsciemment déçu d’être guérit.. elles perdent les bénéfices secondaires : se sentir victime par exemple, ou attirer l’attention sur soi, qui est une stratégie qu’on met en place dans la petite enfance.
Comme toute stratégie de survie, il faut faire un travail sur soi pour la conscientiser, l’intégrer, la digérer.
 
C’est la raison pour laquelle on ne peut éliminer un symptôme mais plutôt conscientiser ce qui l’a laissé s’installer dans notre vie..Dyshidrotic-Eczema.jpg
 
J’ai été marqué par l’attitude de Guy Corneau, que j’ai été écouter en conférence en juin 2012 à Paris, qui communique beaucoup en ce moment autour de son témoignage de guérison d’une maladie grave.
A un moment de sa vie ou il se remettait profondément en question, il s’est tellement réconcilié avec lui-même, sa maladie, le destin qui l’attendait, qu’il ne craignait plus de la mort. Mourir ou ne pas mourir n’était plus la question. La question était de comprendre ce qui c’était passé dans son parcours pour avoir laissé la maladie perdurer (il était malade depuis très longtemps).
 
A noter que sur son site (guycorneau.com), on peut écouter la méditation de « dialogue avec les cellules » qui a été, au côté des exercices de visualisation, un des outils sur sa guérison (que je rattache au plan « psychosomatique »).

 

Symbolique des maladies : l’approche à 3 niveaux : prenons un le cas de l’eczéma.

 
Il y a 3 vecteurs de l’eczéma : psychosomatique, métabolique et allergique.
 
– Psy : conflit de séparation. Mais il peut être aussi lié à des habitudes alimentaires, qui ont d’ailleurs un lien symbolique avec ledit psychosomatique : par exemple boire du lait favorise l’eczéma, et le lait est un symbole d’attachement maternel.. l’eczéma est justement lié à un conflit de séparation (par exemple avec la mère).
 
– métabolique : nettoyer les émonctoires, on peut par exemple conseiller : pensée sauvage + fumeterre : en tisane fréquente. La bardane plutot en application locale.
Alimentation : interdiction du sucre, chocolat, gâteaux, poisson
En gemmothérapie on a de bons résultats avec : cèdre du liban (eczéma sec) ou genévrier (suintant)
 
–  allergique, il faudra conjointement :
1)  il faudra traiter la paroi intestinale (on rejoint le métabolique), racine de tout processus allergisant chronique : pour cela on peut s’aider du iomet (bilan bionutritionnel) afin de déterminer son terrain dominant. Des conseils nutritionnels ainsi que certains compléments alimentaires pourront ensuite être envisagés afin de réguler le terrain et par exemple régénérer la paroi intestinale. Les tests d’imunoglobuline des aliments sont intéressants quand il y a de lourds symptômes.
 
2) consulter en approche énergétique capable de traiter les intolérances alimentaires et les allergies : comprendre pourquoi se sont tels ou tels aliments qui se sont déclarés intolérants. Vérifier les méridiens de l’intestin et du foie.
Jean Marc Vergnolle par exemple pour Montpellier (cf son site autoguerison.com pour prendre contact) ou Caroline Hégoburu pour Paris, et également de nombreux autres thérapeutes (méthode NAET par exemple). Le livre de Christiane Beerlandt, La symbolique des aliments, pourra nous aider : http://www.christianebeerlandt.com/pagina76.html
 
 

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